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Un policier témoigne dans l’affaire du meurtre d’un Britannique

Par : Nicholas Bass

Le chef inspecteur Landing Naso, attaché au poste de police de Tujereng, a poursuivi lundi son témoignage dans l’affaire encours du meurtre de la Britannique Shakina Chinedu.

Selon les dossiers du tribunal, Augustine Bangura aurait, le 14 février 2024 ou vers cette date, à Sinchang, dans la région de la côte ouest de la Gambie, causé la mort de Shaikina en la frappant à l’arrière du cou avec un marteau, ce qui a entraîné son décès.

Le troisième témoin à charge, le chef inspecteur Naso, a déclaré, sous contre-interrogatoire de l’avocat de la défense S. Ade, que le corps de Shaikina avait été retrouvé dans une concession alorsen construction.

Le chef inspecteur Naso a expliqué que lors de la découverte du corps de la défunte, aucun suspect ou accusé n’avait étéidentifié, précisant que les plaignants et leurs partenairesgambiens avaient identifié le corps de la défunte. Lorsquel’avocat Ade l’a interrogé sur le fait que le corps de la défunteétait complètement recouvert de terre, il a répondu qu’il préféraitne pas commenter, ajoutant qu’il n’était pas présent sur les lieuxdu crime.

L’avocat de la défense Ade a alors suggéré au témoin que les objets récupérés par la police dans la maison de la défunteavaient été volés dans sa résidence à Brusubi Phase Two. Le témoin a répondu par l’affirmative. Il a déclaré que certains des objets volés dans la maison de la défunte avaient été dérobés par l’accusé Augustine Bangura.

Selon l’officier Naso, Augustine a conduit les enquêteurs dans la récupération et l’identification des biens de la défunte, durantlaquelle il a également avoué avoir volé ses biens à BrusubiPhase Two.

Par ailleurs, selon les détails du second chef d’accusation, Augustine aurait, le 14 février 2024 ou vers cette date, à Sinchang, dans la région de la côte ouest de la Gambie, volé à Shakina la somme de 80 000 D, deux ordinateurs portables, unetablette, des clés USB, des clés, un appareil photo Canon ainsique des cartes bancaires et de correspondance, qui se trouvaientdans son sac et son appartement.

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